On y trouve ci-dessous:
- le café Dancoisne,
- l'estaminet-coiffeur "A la Belle Vue",
- le café de la Paix,
- le café des musiciens "Chez Fava",
- la café Mayelle,
- le café de l' Eglise.
Georges Dancoisne et sa femme Paulette Dantin ont ensuite vendu leur café Rue Deregnaucourt pour s'installer à l'angle de la Rue de la Froidure et de la Rue des Martyrs.
Cet endroit appelé "Chez Pichon" (nom jeté) (déjà à cet endroit dans les années 60).
Rue du Noir Debout, Emile Laurent et Raymonde Dennetiere tenait le café "A la belle Vue".
Leur fille Germaine l'a repris et a ouvert un salon de coiffure. La mari de Germaine, Noël Dorchies travaillait à la Thomson à Lesquin.
Le café de la Paix faisait Régie (tabac et débit de boissons).
Le café des musiciens était tenu par Ferdinand Fava et Marie Duponchel. Il était déjà en place dans les années 60.
Il a ensuite été repris par Jean et Thérèse Infanti, puis par Carlo di Francisco.
Le nom du café n'a jamais changé.
Les musiciens y répétaient à l'étage et des bals avaient lieu dans la salle derrière.
Les Mayelle tenaient un café Rue du Noir Debout. Ils ont ensuite repris la coopérative située juste à côté.
Le café de l'église était tenu par les Calimet, 11 rue du Bourg.
Il avait la particularité de posséder une pompe à essence.